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CSST 106451255
de Jean GODBOUT
PARJURE / PERJURY
Parjure des
docteurs Le 28 septembre 1999, comparait au Palais de Justice de Laval devant le tribunal de la Commission des Lésions Professionnelles (CLP) dans les causes; 91822-61-9709, 115396-61-9904, 115929-61-9905 et 121934-61-9908, du dossier CSST portant le No 106451255 de Jean GODBOUT, le docteur François PÉLOQUIN, urologue, pratiquant à la Clinique Médicale Le Carrefour, 3030 boul. Le Carrefour, Laval, (Québec) H7T 2P5 et au 1560 de la rue Sherbrooke est (Hôpital Notre-Dame, Montréal), gradué de l'Université McGill à Montréal, professeur adjoint de clinique à l'Université de Montréal, possédant une maîtrise en chirurgie prostatique, lequel promet solennellement de dire la vérité, toute la vérité et seulement que la vérité ! Le 16 février 2000, comparait au Palais de Justice de Laval devant le tribunal de la Commission des Lésions Professionnelles (CLP) dans les causes; 91822-61-9709, 115396-61-9904, 115929-61-9905 et 121934-61-9908, du dossier CSST portant le No 106451255 de Jean GODBOUT, le docteur Claude LAMARRE, orthopédiste, pratiquant à l'Hôpital Hotel-Dieu de St-Jérôme au 500 boul. des Laurentides, suite 018, St-Antoine (436-8255 ainsi qu'au 233, rue Turgeon suite 4 à Ste-Thérèse (436-8255) et (450) 476-1956 et à Montréal au (514) 729-6371, lequel promet solennellement de dire la vérité, toute la vérité et seulement que la vérité ! Le 18 février 2000, comparait au Palais de Justice de Laval devant le tribunal de la Commission des Lésions Professionnelles (CLP) dans les causes; 91822-61-9709, 115396-61-9904, 115929-61-9905 et 121934-61-9908, du dossier CSST portant le No 106451255 de Jean GODBOUT, le docteur Denis LADOUCEUR, neuro-chirurgien, pratiquant à l'Hôpital du Sacré-Coeur de Montréal ainsi qu'à sa Clinique privé au 122 rue Saint-Laurent, bureau 500 à Saint-Eustache (Québec) J7P 5G1, téléphone : (450) 623-3258) & télécopieur (450) 623-5805, lequel promet solennellement de dire la vérité, toute la vérité et seulement que la vérité ! Lors de son témoignage, le Docteur PÉLOQUIN se réfère à un article publié dans le Journal of Urology, dont l'auteur est COSTABILE, volume 146 (6), page 1571 - a 4 à 1574, pour justifier son diagnostic d'orchialgie, et selon ses dires, il s'agirait du syndrome low-back pain, lombalgie chronique sévère qui causerait les orchialgies. À la production de son expertise, le diagnostic principal de ce médecin expert était l'orchialgie, alors qu'entre temps je me rendais à la CLINIQUE MAYO (Rochester, Minessota, U.S.A.) ou on a démontré un problème beaucoup plus plus sévère et important, soit une :
Le docteur François PÉLOQUIN affirmait devant le tribunal que la vessie hyperéflexique, par cause neurologique documentée, provenait habituellement d'une lésion en haut de L2 ... , il rajoutait; "Par cause neurogène on entend une lésion en haut du corps vertébral L2." (Page 89 des notes sténographiques de la séance de l'après-midi, 28 septembre 1999). Dans sa décision du 5 juin 2000, Me Lucie COUTURE, Commissaire de la Commission des Lésions Professionnelles (CLP), assistée de son assesseur médical, le docteur Michel LESSAGE, au paragraphe [208] elle écrit :
Eh bien, chers docteurs François PÉLOQUIN urologue, Denis LADOUCEUR neuro-chirurgien, Claude LAMARRE orthopédiste et Michel LESSAGE, membre de la Commission Internationale de la Santé au Travail (CIST) et assesseur médical du tribunal administratif de la Commission des Lésions Professionnelles (CLP), voici la preuve du contraire : Cette étude scientifique :
Comme MAYO m'a diagnostiqué comme suit :
Cette référence médicale démontre bien que ma vessie neurogène de type noncompliante hyperéflexique ne peut seulement provenir que d'une lésion à la moelle à l'étiologie discale lombaire; la queue de cheval, plutôt qu'à une lésion de la moelle située au-dessus de L2 comme le déclaraient à tort le docteur François PÉLOQUIN urologue, ou au-dessus de D1 - D11 ou L1, selon les docteurs Claude LAMARRE orthopédiste et Denis LADOUCEUR neuro-chirurgien, et ce contrairement aux opinions généralement admises en médecine sur le sujet. Comme par hasard, le tableau ci-bas démontre une prédominance causale en L4-L5 & L5-S1 (justement là où on m'a opéré pour une lésion professionnelle)
De plus, j'ai mis la main sur l'article médical écrit pas COSTABILE dont le docteur PÉLOQUIN faisait référence au tribunal, et après lecture, je me rend compte qu'il s'agit de cas ou il n'y a aucune trouvaille radiologique pour expliquer les orchialgies, alors dans ces cas, les médecins disent que le problème est d'ordre psychologique comme explication. Mais dans mon cas, les deux hernies, la chirurgie, le retour forcé au travail avec mes hernies où j'ai dû soulever des poids de 125 livres (57 kilos) pendant deux mois et demi et le bilan urodynamique positif de Mayo qui démontre clairement qu'il y a vessie neurogène, il y a donc des lésions dans mon cas, qui expliquent les orchialgies, contrairement à la référence citée par le docteur Péloquin. Voilà comment des membres du corps médical du Québec, avec la complicité des tribunaux et de la CSST volent les droits des accidentés, ils se parjurent en cour allant à l'encontre de la science médicale, sans compter qu'ils ont «inventés de toute pièces» une lésion en haut de L2, lésion qui n'a jamais été démontrée en radiologie, malgré le nombre impressionnant d'examens radiologique que j'ai subi depuis 1993, qu'il s'agisse de tomodensitométrie, myélographie, discographie et résonance magnétique. Si le Collège des médecins du Québec faisait son job de protection du public comme c'est «supposé», les docteurs François PÉLOQUIN, Claude LAMARRE et Denis LADOUCEUR seraient radiés de leur Ordre professionnel. Même si je sais d'avance que le Collège des médecins va prétendre que ma plainte n'est pas fondée, je vais quand même faire le test, question de démontrer au monde entier que la corruption médicale, le parjure, la tricherie et le mépris des Droits de l'Homme règnent en maître au Québec. Comment un accidenté du travail a t'il la moindre chance de gagner sa cause lorsque son propre médecin expert ; le docteur François PÉLOQUIN se parjure devant le tribunal ? Tous ces intervenants qui me volent mes droits et qui ne me soignent pas, voudraient en plus que je leur porte respect, et lorsque je conteste ou critique, on prétend que le problème serait psychiatrique. Décidément, au Québec, rien n'a changé depuis les années «50» où des psychiatres diagnostiquaient faussement des orphelins d'arriérés mentaux pour des raisons économique. En l'an 2000, l'Histoire se répète, et ce sont les accidentés du travail et de la route qui se font méprisés et volés par le meilleur gouvernement criminel au monde, celui du Code
de déontologie des médecins Devoirs et obligations envers le public 2.02.01 Le médecin a le devoir primordial,
à l'occasion de l'exercice de ses fonctions médicales, de protéger
la santé et le bien-être des individus qu'il dessert tant sur le
plan individuel que collectif. 2.02.02 Le médecin doit favoriser l'amélioration de la qualité et de la disponibilité des services professionnels dans le domaine où il exerce. 2.02.04 Le médecin, exposant des opinions médicales par la voie de quelque médium d'information que ce soit s'adressant au public, doit:
2.02.07 Le médecin peut communiquer, dans un médium d'information s'adressant au public, toute information factuelle, exacte et vérifiable, à la condition de que l'information :
De plus, selon le Code criminel Canadien, le parjure sous assermentation devant un tribunal constitue un acte criminel. ______ Que ça doit être humiliant pour des grands docteurs avec des titres de neuro-chirurgien, orthopédiste et urologue EXPERTS de se faire prendre en défaut par un vulgaire machiniste! On assiste à la démonstration que ce n'est pas l'instruction qui procure l'intelligence. Et si on commençait à me soigner, après plus de 6 ans de négation de ma lésion à la moelle, plus précisément à la queue de cheval..., il commence à être temps, ne trouvez-vous pas ? Quae longo tempore extenuentur corpora, lente reficere oportet. ____________ Le serment d'Hypocrate La traduction de Emile Littré (dernier paragraphe): Si je remplis ce serment sans l'enfreindre, qu'il me soit donné de jouir heureusement de la vie et de ma profession, honoré à jamais parmi les hommes; si je le viole et que je me parjure, puissé-je avoir un sort contraire! Lettre adressée au docteur Marc-Yves BERGERON, physiatre
Il est «
étrange »
et même «
troublant »
de constater que
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À Ste-Adèle, le 21 juin 2001
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